Debunking Trump’s Myth: Migrants Aren’t Draining Social Security and Medicare
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Donald Trump exprimerait certaines préoccupations concernant l’impact des migrants sur Social Security (Sécurité sociale) et Medicare, affirmant qu’ils tuent ces programmes précieux. Cependant, ces affirmations ne correspondent pas à la réalité des données disponibles et à l’analyse de nombreux experts dans le domaine.
Tout d’abord, il est crucial de souligner que les migrants cotisent considérablement à la sécurité sociale et à Medicare par le biais des taxes salariales. Selon un rapport de l’Office of the Chief Actuary of Social Security, les migrants ont contribué environ 12 milliards de dollars à la sécurité sociale en 2010 seulement. Par conséquent, ils alimentent ces programmes plutôt que de les tuer.
Le mythe selon lequel les migrants entravent le système de sécurité sociale et de Medicare en profitant de ces programmes sans en payer les coûts est infondé. On estime que plus de la moitié des migrants non documentés payent des impôts. De plus, même ceux qui ne sont pas en mesure de payer des impôts ont tendance à stimuler l’économie par le travail qu’ils font et l’argent qu’ils dépensent, ce qui contribue indirectement à soutenir ces programmes.
Par ailleurs, en ce qui concerne Medicare, les migrants sont souvent plus jeunes que la population indigène, ce qui signifie qu’ils utilisent moins ces services et contribuent donc à leur financement. Un rapport de Health Affairs a révélé que, entre 2002 et 2009, les immigrants ont contribué 115,2 milliards de dollars de plus à Medicare qu’ils n’en ont reçu. Il est donc faux de prétendre qu’ils nuisent à Medicare.
En outre, une étude du Center for American Progress a révélé que les politiques anti-immigration peuvent en réalité nuire à la sécurité sociale et à Medicare en diminuant le nombre de contribuables. La même étude a également conclu que les politiques d’immigration favorables pourraient rallonger la durée de vie du fonds de la sécurité sociale de près de deux ans.
Pour résumer, bien qu’il soit nécessaire d’avoir une conversation rationnelle et fondée